Concertation 2025 sur les lignes TER de l'étoile de Bayonne
#TERConcertations Lignes 51, 53, 54
Lorsqu'on utilise le train dans les déplacements du quotidien, en particulier en milieu rural, le vélo est souvent le mode de transport décarboné pertinent pour les kilomètres entre le lieu de départ et la gare, puis entre la gare d'arrivée et la destination finale. Il manque cruellement de places pour les vélos dans les TER et de consignes sécurisées dans les gares. Enlever quelques sièges passagers dans les rames (qui peuvent d'ailleurs être remplacés par des strapontins en cas de non utilisation par les vélos) et installer des casiers fermables sur les parkings des gares, ça ne semble ni complexe, ni couteux. Pourquoi n'est-ce pas (ou si peu) réalisé à ce jour ?
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3 commentaires
Dans la région des pays de Loire, c'est un wagon entier qui est aménagé pour les vélos. Donc c'est possible. Quand on veut se déplacer à vélo de manière habituelle, on a besoin de son vélo, ses sacoches ou autre pochette. Et en plus c'est moins cher que d'avoir à s'abonner à un service de vélos payants dont les vélos sont lourds. Pour un train du quotidien qui permette une mobilité plus efficace des gens. Il y a de l'argent pour la LGV mais pas pour les vrais besoins des habitants.
Un mesure simple sans aucun coût et immédiate : il faudrait un peu plus durcir et réglementer l'accès vélo dans les TER.
Il est courant de voir des usagers, notamment en période touristique, rentrer avec des vélos qui ne ressemblent plus à des vélos : FatBike, vélo cargo,....
Un seul vélo occupe parfois la totalité de l'emplacement.
Il est aussi très fréquent, bien que cela relève du civisme, d'avoir dans le TER des vélos avec des sacoches énormes sur chaque côtés, qui à elles seules occupent la place de 2 vélos.
Ma proposition, établir des règles affichées dans les espaces vélo, réglementant la gabarit max d'un vélo, poids max (25Kg ?) et l'obligation de retirer les sacoches.
Ceci permettra aux usagers de faire valoir ces règles en cas de manquement de la part d'un usager (retrait des sacoches), et évidemment interdire l'accès au train aux vélos qui n'en sont pas.
Excellente proposition !
On retrouve exactement le même problème sur les trajets entre Saint-Jean-de-Luz–Ciboure et Bayonne.
Il n’y a officiellement que 6 places pour les vélos, alors que nous sommes au minimum entre 10 et 15 voyageurs à vélo chaque matin dans les trains de 7h40 et 8h35.
Autre constat : les sièges sont souvent occupés "un sur deux". Il serait donc tout à fait envisageable de réserver un wagon entier aux vélos, ce qui permettrait de faciliter la cohabitation entre tous les voyageurs.
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