Concertation sur la feuille de route Cuir, luxe, textile et métiers d’art

Si nous développons une offre qualitative de formes initiales en sélectionnant des élèves selon leur motivation et qualité et que nous arrêtons de remplir des sections par défaut pr éviter les fermetures des filières d’apprentissage. Si l’on met de l’argent dans des bourses de perfectionnement et d’insertion dans le monde professionnel au lieu de mettre de l’argent pr « we can do », nous pourrons avoir des salariés qui s’adapteront aux mode de l’entreprise.
Il y a peu des inspecteurs de l’éducation nationale « taclaient «  des professeurs en cap pour donner à réfléchir à leur élèves. Les élèves sortant de CAP doivent faire et non penser.
Alors, comment réfléchissons nous à tous cela?
Et pour faire connaître nos métiers ? Donner envie ?
Et ben, c’est très simple. Faisons comme autrefois, des visites d’entreprises lorsque cela est possible ou des interventions en milieu scolaire en rémunérant les professionnels pour cela.
Mettez quelques heures un professionnel investi, amoureux de

Son métier avec des jeunes, des enfants et en même des parents
Et vous verrez, des jeunes motivés viendront naturellement vers nos métiers d’art et d’artisanat

Il sera important sur cet axe de garantir "le bon profil à la bonne place" en mettant en œuvre peut être des "parcours de découverte des métiers" pour que les publics jeunes et/ou en reconversion et en recherche d'emploi/d'apprentissage, ne décrochent pas en cours de formation ou au sein de l'entreprise.
Un mix numérique/vidéo + immersion dans le métier + témoignages d'entreprise pourrait être envisagé