Concertation SRADDET 2023
#SRADDET Ensemble, imaginons la Nouvelle-Aquitaine !
Transport marchandise
Le report des marchandises sur le ferroviaire est une nécessité. Mais on sait tous que pour être efficace il faudra des tarifs et des cadences adaptées….
Donc ce ne sera envisageable qu’une fois la LGV en service pour pouvoir cadencer les trains.
En attendant il faut faire des efforts sur le routier, notamment un « évitement » de la région bordelaise pour le trafic de transit.
L’A63 devrait être à 2x4 voies ( les terrains sont disponibles au milieu et gratuite bien sûr….
Donc ce ne sera envisageable qu’une fois la LGV en service pour pouvoir cadencer les trains.
En attendant il faut faire des efforts sur le routier, notamment un « évitement » de la région bordelaise pour le trafic de transit.
L’A63 devrait être à 2x4 voies ( les terrains sont disponibles au milieu et gratuite bien sûr….
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Conversation avec JAOUEN
Il faut développer le transport ferroviaire au dépend du transport routier. Il représente une part importante des émissions de CO2 du secteur transports et plus globalement de l'impact écologique
Considérant les infrastructures, on peut constater que des pôles logistiques anciens , comme Orléans/Saran, sont desservis par des voies ferrées , mais qu’elles ne sont plus utilisées et souvent abandonnées. Parallèlement, les pôles logistiques récents comme Artenay, ne sont pas équipés. En revanches les voies routières y sont conçues pour faciliter les mouvements de camions semi-remorques. La voie ferrée Chartres- Orléans dédiée uniquement aux marchandises en vrac agricole, n'est pas électrifiée , donc utilisable par des trains diesel , puisqu’il n’y a plus guère de trains à vapeur. Ces observations d’infrastructures ne sont certes pas en Nouvelle aquitaine, mais il y a de fortes chances que des pratiques guidées par la rentabilité aient été reproduites ici.
Considérant l’agent de traction, on peut espérer beaucoup en réduction de CO2 de la motorisation hydrogène . Pour ceux qui s’intéressent à la logistique en France , on peut se documenter utilement en s’abonnant à la lettre hebdomadaire DECARBO : http://www.actu-transport-logistique.fr/newsletters/decarbo/ qui propose aussi à des sujets connexes du transport, par des magazines en ligne, associés.
Si la question environnementale est focalisée sur le CO2 en raison de l’effet de serre, il ne faut pas perdre de vue d’autres agents polluants comme le monoxyde de carbone (CO) et les particules fines. Si on en croit certaines études, plus de la moitié des particules fines causées par un véhicule moyen provient des plaquettes de freins, de l’usure des pneumatiques et de l’érosion du bitume. Aussi, je me demande comment ce problème a été résolu par les voitures qui indiquent fièrement « zéro émission ».
Enfin, comme pour les coûts, il faut considérer le bilan pollution de fonctionnement et celui d’équipement , c'est-à-dire ce qui résulte de la fabrication, de la construction et du démantèlement en fin de vie.
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